Confiance

La confiance

Le problème de confiance en soi,  et un problème courant chez l’enfant et l’adolescent

 pendant l’anamnèse veuillez à ce qu’il n’y ait pas d’éléments traumatisant ( harcèlement,  moquerie,  maltraitance)

 assurez-vous également que les parents montant discours positif sur l’enfant

 vous pourrez utiliser différents métaphores  en fonction de l’âge de l’enfant,  de ses jeux,  de la nature…

Protocole 

induction au choix 

« Confiance »… Peut-être…, as tu remarqué ce  manque de confiance en toi… poses un regard sur ce qui est derrière toi…, sur ce qui a « été » pour toi… au cours des derniers jours…, au cours des derniers mois…… 

Tu t’apercois  que, tu as eu des difficultés, difficultés ….reliées à ton sentiment de confiance en toi… Tu as peut-être peur de ne pas y arriver…. mais tu as oublié quelque chose d’important que tu as la capacité

 tu es capable de réussir…. il te suffit d’y croire…. la peur de ne pas y arriver… de rater… c’est terminé

 choisis de te sentir mieux…. de te dire je peux y arriver j’ai la capacité

 tu peux être à la hauteur tu es capable… capable surmonter les difficultés… capable d’apprendre… je voudrais que tu te concentres sur ce qui pourrait faire grandir la confiance grandir un peu comme les graines qui poussent…. il faut parfois les arroser… mais elles continuent  de grandir…

Métaphore 

LE PORTEUR D’EAU

Un porteur d’eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux deux extrémités d’une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules.

L’une des jarres avait un éclat, et, alors que l’autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu’à la maison du maître, l’autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.

Cela dura deux ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d’eau ne livrait qu’une jarre et demi d’eau à chacun de ses voyages.

Bien sûr, la jarre parfaite était fière d’elle, puisqu’elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille.

Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu’elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.

Au bout de deux ans de ce qu’elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s’adressa au porteur d’eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source.

“Je me sens coupable, et je te prie de m’excuser.”

“Pourquoi ?” demanda le porteur d’eau. “De quoi as-tu honte ?”

“Je n’ai réussi qu’à porter la moitié de ma cargaison d’eau à notre maître, pendant ces deux ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l’eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l’eau. Tu n’obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts”, lui dit la jarre abîmée.

Le porteur d’eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit : “Pendant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu’il y a au bord du chemin”.

Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au cœur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu’elle avait encore perdu la moitié de son eau.

Le porteur d’eau dit à la jarre “T’es-tu rendu compte qu’il n’y avait de belles fleurs que de ton côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite ? C’est parce que j’ai toujours su que tu perdais de l’eau, et j’en ai tiré parti.

J’ai planté des semences de fleurs de ton côté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin.

Pendant deux ans, j’ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n’aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses.

Métaphore le jardin et le roi

Je vous partage cette histoire d’une petite fleur vivant dans le jardin du roi au milieu de grands arbres. Cette histoire pleine de sens est totalement métaphorique. Chacun y trouvera ce qu’il a y trouver sur la confiance en soi et l’estime de soi

… un roi qui avait planté, près de son château toutes sortes d’arbres, de plantes et de fleurs. Son jardin qu’il avait créé était de toute beauté. Chaque jour, il prenait le temps de s’y promener. C’était pour lui un plaisir et une détente. Un jour, il dut partir en voyage pour un certain temps. À son retour, il s’empresse d’aller marcher dans le jardin. Malheureusement, il est surpris et surtout désolé de constater que les plantes et les arbres sont en train de se dessécher.

Il s’adresse au Grand Pin, autrefois majestueux et plein de vie, et lui demande : «Grand pin, que s’est-il passé ?»

Le Grand Pin lui répond : «J’ai regardé le pommier et je me suis dit que jamais je ne produirai les bons fruits qu’il porte. Je me suis découragé et j’ai commencé à sécher.»

Puis, le Roi va trouver le Généreux Pommier qui lui aussi est en train de se dessécher. Il s’empresse de lui poser la même question qu’au Grand Pin : «Généreux Pommier, que s’est-il passé ?»

Le Généreux Pommier lui répond : «En regardant la rose et en sentant son parfum, je me suis dit que jamais je ne serais aussi beau et agréable et je me suis mis à sécher.»

La Belle et Agréable Rose étant aussi en train de dépérir, le roi laisse le Généreux Pommier et s’empresse d’aller vers elle pour lui poser la même question : «Belle et Agréable Rose, que s’est-il passé ?»

La Belle et Agréable Rose lui répond : «Comme c’est dommage que je n’ai pas l’âge de l’Erable qui est là-bas et que mes feuilles ne se colorent pas à l’automne. Dans ces conditions, à quoi bon vivre et faire des fleurs ? Je me suis donc mise à dessécher.… vous imaginez bien dans quel état peut être le Roi qui ne comprend pas la situation. Il a besoin de réponses. Et, en poursuivant son investigation, car il a besoin de comprendre, il aperçoit une maaagggnnnifffiiiiqqquueee Petite Fleur. Elle est toute épanouie, avec de belles couleurs, des formes et des courbes généreuses, et une odeur enivrante. Surpris et encore sous l’emprise des émotions qu’il vient de vivre durant cette désolante expérience, il prend le temps de lui demander:

«Dis-moi Petite Fleur, je dois te dire que tu es vraiment magnifique. Comment se fait-il que tu n’aies pas subi le même sort que les autres?»

La Petite Fleur lui répond : «J’ai failli me dessécher car au début je me désolais. Jamais je n’aurai la majesté d’un pin qui garde sa verdure toute l’année, ni les fruits goutteux et savoureux du pommier, ni même le raffinement et le parfum de la rose. J’ai commencé à mourir, mais j’ai réfléchi et je me suis dit:

Si le roi, qui est riche, puissant et sage, et qui a organisé ce jardin, avait voulu quelque chose d’autre à ma place, il l’aurait planté. Si donc il m’a planté, c’est qu’il me voulait moi, telle que je suis, et à partir de ce moment-là, j’ai décidé d’être la plus belle possible.»

Ressources passées

Tu ne t’en souviens peut être pas, mais quand tu as appris à marcher, ça n’était pas facile, tu es tombé…. tu avais peur de te lâcher… et tu t’es relevé…entraîné… et aujourd’hui tu sais courir…

Quand tu as appris à lire…à compter…à mettre tes chaussures…(ou tout autres activités réalisées par l’enfant: foot, danse…) rien n était facile…tu t’es entraîné…et tu y es arrivé…c’est la même chose aujourd’hui

Alors entraine toi… fais toi confiance..

  La technique du poing serré (aller chercher une ressources du passé et poser l’ancrage)